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Est-ce que la pose d’un implant fait mal ?

L’intervention elle-même est indolore grâce à l’anesthésie locale. Les suites opératoires sont similaires à celles d’une extraction : une gêne modérée, un gonflement éventuel et de légères douleurs les premiers jours. Ces signes sont généralement bien contrôlés par des antalgiques simples.

Combien de temps dure un implant dentaire ?

Un implant peut durer 15, 20, voire 30 ans si toutes les conditions sont réunies : bonne hygiène, absence de tabac, contrôles réguliers. La prothèse (couronne ou bridge) peut nécessiter un remplacement au bout de 10 à 15 ans en fonction de l’usure ou de l’esthétique.

Peut-on poser un implant juste après une extraction ?

Oui, dans certains cas, une pose immédiate post-extraction est possible si l’os est intact. Cette technique raccourcit le délai total du traitement mais demande une planification rigoureuse. Parfois, un comblement alvéolaire est réalisé pour maintenir le volume osseux avant l’implantation.

Est-ce remboursé par la Sécurité sociale ?

La Sécurité sociale ne prend pas en charge la pose d’un implant. En revanche, certaines mutuelles proposent un forfait annuel pour le remboursement partiel du traitement. Le praticien peut établir un devis détaillé permettant d’anticiper les conditions de prise en charge.

Est-ce que la greffe est douloureuse ?

Non. L’intervention est réalisée sous anesthésie locale. Une gêne peut apparaître au site donneur, mais elle est transitoire. Des antalgiques adaptés sont prescrits.

Quel est le meilleur moment pour intervenir ?

Le plus tôt possible, dès les premiers signes de récession. Une gencive très abîmée ou une racine fortement exposée nécessite un traitement plus complexe.

Peut-on prévenir le recours à la greffe ?

Oui. Un bon brossage, l’élimination du tartre et un suivi dentaire régulier permettent de prévenir la plupart des cas de déchaussement.

Y a-t-il des contre-indications ?

Certaines conditions médicales non stabilisées (diabète, maladies immunitaires) ou une mauvaise hygiène peuvent temporairement contre-indiquer la greffe.

Est-ce un traitement définitif ?

Il permet de stopper la progression de la récession et de renforcer la gencive. Toutefois, si les habitudes néfastes persistent, une nouvelle rétraction peut survenir à long terme.

La dent devient-elle plus fragile ?

Oui, car une dent dévitalisée perd en élasticité. C’est pourquoi une restauration renforcée, comme une couronne, est souvent indispensable pour éviter les fractures futures.

Le traitement est-il douloureux ?

Grâce à l’anesthésie et aux instruments modernes, le traitement est généralement indolore. En revanche, une légère inflammation des tissus peut persister temporairement.

Est-ce remboursé par la sécurité sociale ?

En grande partie, oui. Toutefois, certains actes non conventionnés ou techniques avancées peuvent faire l’objet de compléments d’honoraires.

La pose est-elle douloureuse ?

En général, la procédure est indolore. Dans les rares cas où une sensibilité est possible (réduction de l’émail), une anesthésie locale légère peut être proposée. La plupart des patients rapportent un confort immédiat après la pose.

Les facettes altèrent-elles les dents naturelles ?

Lorsque la technique est bien maîtrisée, la quantité d’émail retirée est minimale. La dent est préservée dans sa structure profonde. En cas de retrait des facettes, il peut être nécessaire d’en poser de nouvelles pour conserver un aspect esthétique satisfaisant.

Le traitement peut-il remplacer un blanchiment ?

Les facettes permettent d’obtenir une teinte blanche stable sur le long terme, ce qui n’est pas toujours possible avec un simple éclaircissement. Toutefois, si le patient souhaite conserver ses dents naturelles, le blanchiment reste une première option à envisager avant de poser d’éventuelles facettes.

Est-ce réservé aux adultes ?

Ce traitement est plutôt destiné aux adultes, une fois la croissance dentaire stabilisée. Chez les adolescents ou jeunes adultes, il est recommandé d’attendre la fin du développement maxillo-facial.

Peut-on associer facettes et couronnes ?

Oui, dans le cadre de restaurations esthétiques globales, une combinaison de traitements peut être envisagée. Les couronnes concernent plutôt les dents très délabrées ou déjà restaurées, tandis que les facettes sont posées sur des dents vivantes, peu altérées.

L’adaptation est-elle difficile ?

L’adaptation demande un temps variable. Certains patients s’habituent en quelques jours, d’autres en quelques semaines. Une gêne temporaire reste normale. Grâce à des conseils adaptés, la transition s’effectue plus facilement.

Peut-on manger de tout ?

Oui, après l’adaptation, l’alimentation redevient variée. Cependant, il est préférable d’éviter les aliments trop durs ou collants. Une mastication douce sur les deux côtés est fortement conseillée.

Y a-t-il un risque que la prothèse tombe ?

Une prothèse bien ajustée reste en place. Néanmoins, certaines situations entraînent une instabilité. Dans ce cas, des produits fixateurs ou des implants peuvent améliorer la tenue.

Comment améliorer le confort ?

Plusieurs options existent : rebasage, adhésifs, modifications des crochets ou recours à des mini-implants. Un suivi attentif améliore considérablement la qualité de vie.